Avec en toile de fond la problématique de la formation, le manque de
candidats sur le marché de l'emploi et les exigences du terrain, les
différents intervenants représentant le FOREM, ACTIRIS, les petites et
grandes entreprises ont abordé différentes pistes pour attirer les jeunes
dans un milieu malheureusement toujours considéré en second plan et faire
face à la pénurie de main d’œuvre qualifiée et motivée dans le secteur.
Des représentants des travailleurs étaient également invités,
particulièrement intéressés par d’autres sujets tels que salaires,
adéquation entre formation et offre d’emploi, perspectives d’épanouissement,
intégration de la main d’œuvre allochtone, adéquation entre vie de famille
et vie professionnelle.
Tous en sont sortis unanimes, les métiers liés à l’électricité sont bel et
bien des métiers d’avenir, et notamment au vu des enjeux climatiques et des
nouvelles technologies !
Gageons que le monde patronal comprenne qu’aux métiers à très haute valeur
ajoutée et aux qualités professionnelles pointues exigées, il convient
d’offrir un cadre de travail enthousiasmant tant sur le point qualitatif que
quantitatif.